• Est-ce moins cher ?

    - Si vous vous faites livrer chez vous (avec la livraison gratuite) vous évitez une à deux heures de courses par semaine. Vous profitez de ce temps gagné pour être auprès de votre famille ou vous reposer à la maison (en attendant d’être livré)… c’est un choix de confort !

    - Si vous passez chercher vos courses toutes prêtes, vous économisez le temps de passer en magasin et vous allez à l’essentiel. Idéal pour les personnes très actives ou pressées par leur emploi du temps.

    - La solution la plus économique reste bien sûr de passer chez un discounter avec un caddie et de faire ses emplettes de façon classique : les prix y sont de 20 à 30% moins chers et même jusque 50% moins chers si le discount évite la main d’oeuvre pour la mise en rayon.

    Au départ, seuls les produits alimentaires étaient présents (bricks et bouteilles, conserves et boites) avec quelques produits frais. Aujourd’hui, on trouve une boucherie dans certains magasins ainsi que des produits d’hygiène, de loisirs et des vêtements.

    Le discount au quotidien !

    Le concept séduit de nombreuses familles : certaines font leurs achats principaux auprès des discounts et font accessoirement des achats précis en hyper ou magasins. Le choix proposé par les discounts tend à fidéliser ces clients et à en attirer d’autres. On va à l’essentiel, on achète les produits à leur prix le plus juste sans l’attrait d’un package ou d’une image de marque séductrice… mais cela ne gêne nullement. Si nous savons faire des choix judicieux dans l’achat de produits variés, il est possible de bien s’alimenter en achetant dans un discount. 

    Les hard discounts : servez-vous librement pour économiser

    La règle veut que les commerces allemands aient lancé ce concept : des produits sur palettes sans mise en rayon, achetés à prix de gros pour obtenir des prix cassés ! Les enseignes Aldi, Lidl étaient les premières à inaugurer le système en France… aujourd’hui, le concept intéresse aussi les grandes enseignes qui suivent en créant leur discount (Simply Market, Houra, Telemarket…) pour présenter les produits premiers prix et début de gamme dégriffés ! Les coopératives des années 70 ont fait peaux neuves et se sont muées en boutiques dégriffées ! Les magasins entrepôts ont suivi le modèle : les clients ont bien compris le bénéfice et n’hésitent pas à se servir dans les bacs ou sur les palettes.Seuls les produits frais et surgelés pour des raisons d’hygiène sanitaire évidentes sont présentés en rayons réfrigérés. 

    Qui fréquente les hard discounts ?

    On a longtemps cru que seules les familles à faibles budgets fréquentaient ces magasins mais ces dernières années (la crise accentuant le phénomène) il est courant de croiser de jeunes couples cherchant à bien gérer leur budget réduit et les familles avec enfants ayant des revenus moyens.

    Faire un achat raisonné et économique telle est la raison principale : pourquoi dépenser plus pour un produit à qualité quasi égale. La plupart des produits entreposés sont des produits dégriffés ou achetés à prix de gros (car en grandes quantités) auprès des enseignes ou producteurs ce qui évite les frais intermédiaires. La qualité n’est pas forcement moindre que celle des produits vendus en hyper, seul le package et la présentation sont plus discrètes.

     

     

     


    votre commentaire
  • Vous avez envie de manger de bons oeuf frais dont vous pouvez être sûr de la provenance ? On n'est jamais aussi bien servi que par soi même alors pourquoi ne pas se lancer dans l'lélevage de poules ?

    Est-ce possible ?

    Avant d'accueillir des poules il faut cependant vérifier que c'est possible. En ville il faudra fermer votre terrain ou le parc à poules si vous n’avez pas de mur de séparation d’avec le voisin. Vous devrez aussi lui demander son autorisation si le poulailler est contre la clôture (surtout si il a un chien car celui-ci risque d’aboyer après vos protégées). Demandez auprès de votre mairie si cela est autorisé et quelles sont les règles à respecter sachant que cela varie selon les villes. Tant que vous ne prenez pas de coq, vous n’aurez pas trop de désagréments avec les réveils matinaux difficilement appréciés par les voisins. Le coq n’est nécessaire que pour féconder les oeufs et donc avoir des poussins. Cela sera plus évident si vous avec un grand espace verdoyant et si vos voisins ne sont pas trop proches.

    Nourrir ses poules

    Il faudra nourrir vos poules: vous pouvez varier entre les céréales spéciale poules pondeuses, les épluchures de légumes, quelques feuilles de salade, les coquilles d’oeufs broyées (indispensables pour la formation des coquilles d’oeufs qu’elles vont pondre).

    Loger ses poules

    Il faudra loger vos poules et pour commencer il faudra leur aménager un espace protégé et isolé. Laissez leur un minimum de place: au moins 5 m sur 3 m pour 3 poules. Des poules qui gambadent seront plus résistantes et en meilleure santé. Choisir un endroit surélevé pour éviter à la pluie de s’infiltrer. Un peu d’herbe, de terre à grattouiller, un tronc d'arbre où grimper. Il est déconseillé de laisser vos poules vaquer librement dans le jardin car cela pourrait être une tentation pour les chats et chiens errants du quartier ou d'autres prédateurs.

    Le poulailler

    Cet espace deva comporter un abris et un endroit où vos poules pourront aller pondre en d'autres mots, un poulailler. Si vous êtes habile et un peu bricoleur il est possible de le construire soi-même. Il existe des poulaillers préfabriqués mais cela revient nettement plus cher. Si vous choisisser de de le construire vous pourrez offrir à vos poules des caisses en bois en guise de nichoir. Celle-ci pourront être garnies de paille et de sciure qui seront à renouveler régulièrement.

    Choisir une poule

    Après avoir bien pris conscience de toutes les obligations qu'engendrent l'élevage de poules alors il sera temps de s'interroger sur type de poule à choisir. Vous pouvez trouver des jeunes poules à acheter auprès des animaleries ou éleveurs. Les poules naines ont tendance à aimer s’envoler et se nicher en hauteur mais elles font de très bonnes pondeuses. On redécouvre des anciennes variétés très typées ou des poules étrangères tout aussi productive qu’agréable à regarder. Les principales sont: la poule bantam de Pékin, la poule hollandaise huppée, la poule nègre soie blanche et la poule Lohmann selected Leghorn ou Brown classic (rousse).

    Il ne vous restera alors qu'a prendre soin de vos poules et attendre leurs premiers qui récompenseront vos efforts !

     

    poules

     



     


    votre commentaire
  •  
     
    Depuis quelques années, même si sa consommation demeure encore minoritaire, l’agriculture biologique a gagné en crédibilité. Notamment parce que les notions de respect de l’environnement et de développement durable deviennent des préoccupations centrales. 
     
    En réaction à l’élevage industriel, à l’usage intensif de substances polluant le sol et les nappes phréatiques et autres excès, l’agriculture biologique exclut les produits chimiques de synthèse : engrais, pesticides, herbicides, OGM (organismes génétiquement modifiés)… 
     
    Aujourd’hui, des produits issus de l’agriculture biologique se trouvent facilement dans les supermarchés et dans un grand nombre de magasins spécialisés. On les reconnaît au label AB. Le produit doté du logo AB est garanti composé à 95 % d’ingrédients issus de l’agriculture biologique. Il ne faut en revanche pas se fier aux aliments marqués simplement « bio ». Cette appellation ne fait l’objet d’aucune protection et n’importe quel fabricant peut l'utiliser.
     
     
    jardin-bio
     

    votre commentaire
  • Dans la seconde moitié du XXème siècle, les transports de marchandises se sont développés au niveau mondial, et les techniques de conservation et de mûrissement artificiel ont permis les longs voyages en bateau des fruits et légumes frais. C’est en partie ce qui a permis le développement de la consommation des fruits hors saison.
     
     
    Mais ce progrès des transports nous permet aussi de déguster des fruits exotiques à prix raisonnables. Autrefois produits rares et de luxe, les oranges et les bananes sont aujourd’hui des produits courants. Ils font même partie des tout premiers fruits consommés en France, à côté de la pomme. L’ananas est devenu presque aussi commun. Celui qu’on achète en France vient principalement de Côte d’Ivoire.
     
     
    D’autres fruits exotiques appartiennent encore aux rayons de l’épicerie fine, plus luxueuse, bien qu’ils soient de plus en plus accessibles :
    - la mangue : tous les produits tropicaux et subtropicaux en produisent mais celle que nous importons en France provient de l’Afrique au printemps et des pays latino-américains le reste de l’année.
    - Le litchi : il vient de Madagascar, l’Australie, la Réunion, l’Ile Maurice ou d’Afrique du Sud. Sa période de consommation est très courte, autour de Noël.
    - La papaye : on peut en manger toute l’année. Elle vient du Brésil ou de la Côte d’Ivoire.
     
     
     
    fruit-exotique
     
     

    votre commentaire
  • Si l’on peut trouver aujourd’hui des fruits et légumes hors saison à profusion, c’est grâce au développement parallèle de plusieurs techniques : celle des cultures sous serre, celles des transports internationaux et celles du mûrissement et de la conservation.
     
     
    Cette évolution, particulièrement marquée pendant ces dernières décennies, n’est pas sans conséquence sur le goût des produits. Les fruits et légumes grandis sous serre sont bien moins sucrés que ceux épanouis à leur propre rythme sous les rayons directs du soleil. Ceux qui sont importés en provenance de pays lointains sont cueillis avant d’atteindre leur maturation, qu’ils terminent pendant le transport. Leurs qualités gustatives sont forcément dégradées. Enfin, pour vendre des pommes tout au long de l’année, on les récolte aussi avant la fin de leur maturation, qu’elles achèvent artificiellement dans des entrepôts réfrigérés.
     
     
    Ces techniques ont aussi des conséquences sur l’environnement. En effet chacune d’entre elles est une source de consommation d’énergie. Les serres sont chauffées, les transports nécessitent des carburants et les entrepôts réfrigérés de l’électricité.
     
     
    serre
     
     

    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires